L’endométriose est une maladie qui n’est à la connaissance de tous. Son diagnostic reste complexe et elle est très peu prise au sérieux. Car, elle est rapprochée aux menstruations douloureuses de la femme. Pourtant, cette maladie atteint 2 à 4 millions de femmes en France et 180 millions dans le monde. Puisque l’endométriose est très peu connue, vous découvrirez dans la suite de l’article quelques informations très importantes sur cette dernière.
Les causes de la maladie
L’endométriose est caractérisée par l’existence anormale d’un tissu qui ressemble à l’endomètre hormis la cavité utérine. Lorsque les hormones fluctuent, ces cellules manifestent une action. Elles deviennent plus épais et font couler du sang. Cependant, elles ne peuvent être excrétées par les voies normales durant les menstrues. En conséquence, les kystes et les réactions inflammatoires sans oublier les nodules apparaissent.
Les premiers symptômes essentiels
En France, l’endométriose se remarque chez les femmes ayant déjà l’âge de procréation et qui désirent avoir un enfant. Elle se révèle être la première raison de l’infertilité. Toutefois, d’autres symptômes sont capables d’alerter. Il s’agit des douleurs menstruelles encore désignées dysménorrhée, des douleurs aux niveaux du pelvis et celles ressenties lors des rapports sexuels. Il y a également les fatigues chroniques, les troubles des intestins et les problèmes relatifs à la miction.
Les conséquences de l’endométriose
La conséquence immédiate de l’endométriose est l’altération de la qualité de vie. Cette maladie peut invalider les femmes concernées. Elle entraîne près de 21 000 hospitalisations chaque année. Moyennement, le temps de diagnostic s’élève à 07 ans.
Quel soutien face à une telle maladie ?
Heureusement, il existe en France deux importantes associations qui soutiennent et informent sur la maladie. Il est question de EndoFrance et ENDOmind. Avec quelques euros, il est possible d’adhérer à ces associations. EndoFrance est celle qui a vu le jour premièrement en 2001 et ENDOmind deuxièmement en 2014. Afin d’améliorer la prise en charge, ces associations sont agréées par le ministère de la santé. Ainsi, elles travaillent individuellement par des moyens distincts pour mieux s’occuper des femmes touchées par cette maladie.