Le bâillement survient à des moments inattendus. Il est très souvent assimilé à une envie de sommeil. Dans cet article, nous expliquerons les modes de déclenchements et finalités du bâillement.
Un mécanisme avec plusieurs leviers
La tranquillité ou la maladie peuvent être cause de ce phénomène. Si vous cherchez un approfondissement sur le sujet, découvrez le ici. Ses fondements dérivent du fonctionnement corporel. Son apparition permet d’expliquer et de déduire certains signes liés à la santé. Cet instant de relaxation peut signifier que le cerveau se chauffe. Une autre observation est qu’il intervient également lorsqu’on est fatigué. L’excès de travail et une dépense énergétique importante le favorisent. L’ennui est aussi un facteur essentiel. Ainsi, il n’est pas rare de bâiller quand on ne ressent pas d’intérêt pour quelque chose ou pour une activité. La chaleur environnante peut causer le bâillement. Les changements de températures sont rapidement remarqués par l’organisme. Une hausse de température facilite cette opération. Le stress peut aussi en être à la base.
Un effet tonifiant et stimulant
Le bâillement a pour objectif d’augmenter notre vigilance et de nous rendre plus attentif aux événements. Il relance de la meilleure manière le cerveau et notre système d’alerte. Bâiller n’a donc pas pour but de nous endormir. Dans les situations où il est concomitant au sommeil, il produit en réalité l’effet inverse. Les défenses du corps sont redynamisées en une ou deux répétitions. C’est un processus qui s’exécute en un temps très court. Il est vif et atteint des points ciblés dans la zone maitresse de nos mouvements et actions. Sa survenance améliore les capacités de notre système tout entier, surtout en cas de chute drastique de celles-ci. La consistance de ce phénomène implique qu’il doit être suivi d’un changement d’attitude. Car bien que gratifiant, il est momentané. En conclusion, l’action consistant à bâiller n’entraine pas un assoupissement. Bien au contraire, elle intervient pour nous galvaniser et renforcer notre attention. Elle participe à la sauvegarde de fonctions importantes.